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l'histoire du chevalier Plakto (en cours)

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l'histoire du chevalier Plakto (en cours) Empty l'histoire du chevalier Plakto (en cours)

Message par Plakto Dim 22 Fév - 13:40

Ceci est une ébauche, la 1ère, je suis ouvert à toutes critiques, mais faites les en mp svp, afin qu'ici il n'y ai que des textes.

La mort vient à quiconque n'y prend garde.
Depuis le drame d'il y a 10 ans, j'ai errer sur les chemins, à la recherche de vengeance. J'étais à l'époque si jeune, mais à présent me voilà robuste, et mon mental à toute épreuve, me permet de survivre dans ces conditions précaires.

Chaque fois que je le peux, je m'entraîne sur ma longue route. Je m'entraîne non contre des mannequins de bois, ou bien des arbres, non, je tue et pourfends tous criminels ou marauds que je rencontre.
Ces gens qui ne vivent que dans le meurtre et la débauche, qui pillent les marchands de leur fortune ... Ils me dégoûtent.

Mon premier mort sur cette longue et triste liste, fut cet homme orgueilleux qui, malgré son titre de chevalier, essayait de violer une bergère aussi belle que la rosée que le matin laisse sur les fleurs.
Mais ce vilain, lui, l'avait frappé si fort que ses lèvres étaient fendues, que du sang ruisselait en cascade sur sa chevelure blonde ... Il méritait la mort.

Je n'étais alors armé que d'une dague, quant à lui, un chevalier armé de son épée.
J'ai crié. Non de peur, mais d'un cri qui vient du plus profond de l'âme d'un homme. Un cri qui ferait trembler la plus terrible créature mystique.
Le chevalier c'est alors retourné, épée en main, et, me voyant arriver avec ma lame qu'il utiliserait aussi bien pour manger, se mit à rigoler.
C'est alors que ma course se stoppa, j'armai mon bras droit avec autant de dextérité qu'un assassin et le manche me quitta la main.
Le visage de mon ennemi se figea. Il venait enfin de comprendre que l'homme qui était en face arborait le dernier qu'il verrait.
Dans sa folie, il se retourna et essaya de lever son épée afin de planter son épée dans le corps de la malheureuse, mais je l'en empêcha.
Je plongeai sur lui de toute mes forces, le plaquant au sol. Du sang jaillit de sa bouche alors que je le martelai d'une ruade du coups.
Je retirai ma dague de son corps musclé, et, voyant la frayeur dans ses yeux, je fermai les miens. Il essaya de se dégager, en vain, je plongeai ma dague directement dans sa gorge. Je l'entendis émettre un hoquet de surprise, puis le sang jaillit de sa gorge maculée, provoquant des gargouillis.

Je me souviendrai toujours de ses yeux me regardant effarés alors que la vie le quittait.
J'entrepris alors de lui creuser une tombe, sans nom ni décorations, il n'en méritait aucune. Aussi connu soit-il, sa mort, elle, serait anonyme.
Ses armes, son cheval et son armure m'appartenaient de droit.
Dès ce jour, ma vie changea. Aimé des pauvres gens en détresse, détesté par les brigands. Je suis pourchassé par les uns, accueilli par les autres.
Mais une seule chose est sûre, je suis connu pour n'avoir aucune pitié.

Dans les villes, les gens parlent de moi, ils disent que j'ai tué 157 criminels, d'autres disent que j'en ai tué plus de 200.
Pour certains je suis un géant. Pour d'autres, je n'existe pas. Certains pensent que je suis un groupe de personnes, qu'une seule ne pourrait jamais faire ce dont on vante mes mérites.

Et pourtant, ils m'ont tous donné le même nom: Benjamin le vengeur.
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l'histoire du chevalier Plakto (en cours) Empty Re: l'histoire du chevalier Plakto (en cours)

Message par Plakto Mar 10 Mar - 11:23

2ème partie, bouclée avec l'aide de Trizo que je remercie infiniment, ainsi que de ma copine, que je remercie aussi.

Menacé, voilà ce que je suis devenu alors que mon nom faisait peur à plus d'un brigand.
Malgré les clameurs de certains, d'autres complotaient contre moi. Mon intervention a déjoué les plans de plus d'un homme, et certains ont de grosses fortunes. C'est ainsi que j'ai commencé à être traqué, par des brigands, mais aussi par des mercenaires, des hommes prêts à tout pour de l'or.
Mes ennemis ont dû se cotiser entre eux, car ce n'est pas moins de 43 mercenaires qui se sont mis à ma recherche.
Malhonnêtes, vénals, fourbes, tant de termes pour ces hommes qui tuent pour de l'argent. De ces mercenaires, il en existe trois sortes différentes: Ceux qui sont en groupe, les solitaires et enfin, les pires de tous, les calculateurs.
La 3ème sorte de mercenaire est là pire de toutes. Sans se salir les mains, ils empochent de l'argent sur le dos des autres. Ce sont eux, les cerveaux qui dirigent la chasse à l'homme, dont je suis la cible.

Le premier groupe de mercenaires m'a attaqué par un beau jour de printemps, alors que je galopais vers l'auberge du bouclier de Zarak, où je devais voir un couple que j'avais sauvé il y avait 2 lunes de ça. En remerciement, ils m'avaient invité à passer quelques jours dans l'auberge qu'ils tenaient.
Mais sur le trajet, grâce à l'entraînement que j'ai suivi, j'ai senti le danger venir. Cela m'a permis d'éviter la première flèche dans ma direction, et de riposter aussitôt.
Un hurlement vif. C'en fut fini de cet homme.
Quant aux autres, surpris de ma réaction vive, hésitèrent à montrer leur position.
Je flattai mon cheval, qui, malgré les combats antérieurs, restait plus sensible au danger que moi.
Un bruit de feuille derrière, deux autres à droite, et cinq à gauche. Et là, en face de moi, ce qui semblerait être leur chef, s'avance à découvert en sifflant.
Il était taillé dans le roc. Des épaules larges, un cou de taureau, et des mains qui pourraient broyer un crâne.
Il hurla dans une langue que je n'avais encore jamais entendu. Ce hurlement se répercuta autour de moi.Huit ennemis m'encerclaient, et leur chef ne bougerait qu'en cas de nécessité.
Les bruits de pas autour de moi me firent comprendre que les mercenaires sortaient de leur cachette.
A mon tour, je poussai un cri qui retira le sourire narquois du visage du chef, et, d'un geste aussi vif que rapide, un couteau apparut dans la gorge de l'homme situé derrière moi.
Silence.
Ils s'étaient arrêtés net.
Des bulles de sang se formèrent sur la gorge du malheureux, ses yeux roulèrent, et il s'écroula en avant, soulevant quelques feuilles sur le chemin.
Les autres se regardèrent, stupéfaits, mais pas pour longtemps. Un adversaires aussi large que le chef s'avança muni d'une hache à double tranchant, il leva et frappa de toute ses forces. Je sautai en arrière et tapai sur le flanc de mon destrier. Mon épée était déjà dans ma main lorsque j'attéri.
Le coup manqué, il arma à nouveau sa hache et frappa dans ma direction. Malgré ses muscles bandés, j'esquivai sur la gauche et tranchai sa cuisse. Le sang coulait à flot. Il lâcha son arme et tomba au sol, criant pour qu'on vienne l'aider.
Je pivotai à temps pour voir un cimeterre passer devant mon nez. Un coup dans les côtes, l'homme s'écroula au sol, un peu désorienté.
Je fis un arc de cercle avec mon épée, juste à temps pour voir une main sectionnée tenant une épée, volant dans les airs, y laissant un arc-en-ciel rougeâtre. L'homme tomba à genoux. Je lui enfonçai ma lame dans la poitrine. Il tomba, mort avant de toucher le sol.
Le costaud à la double hache essaya de m'attraper afin de faciliter le travail de ses camarades. Mauvaise idée. Une dague dans le front lui fit comprendre son erreur. Trop tard pour lui.
Le bruit d'une arbalète se fit entendre. Je me lançai en avant, effectuant une roulade une roulade et enfonçai ma lame dans le ventre de celui-ci avant qu'il ne comprenne qui il avait en face.
Celui aux côtes brisées attaqué accompagné d'un homme plus petit, armé de deux épées.
Un coup de pied dans le plexus calma le premier, un moulinet de mon épée dissuada le second, et le mit à bonne distance. Il frappa à nouveau, il était agile, maniant bien les deux armes dans chaque main. Mais il me laissa une ouverture. Trop tard pour qu'il s'en rende compte, son sort était scellé.
Quant à l'autre, je ne lui laissai guère la chance de reprendre ses esprits, à peine relevé, je lui fendai le crâne en deux, faisant jaillir du sang en fontaine.
Les deux autres utilisaient des épées à deux mains, préférant la puissance à la rapidité. Du moins, c'est ce que je croyais.
Ils étaient vifs, et je me sentai très vite submergé. Une parade à gauche, une esquive à droite, ils avaient l'habitude d'attaquer en duo. Leurs attaques incessante m'empêchai de réfléchir correctement, il fallait me défendre, sans possibilité d'attaquer.
Leur force me faisait reculer, jusqu'à ce que je trébuche sur le corps d'un de leur ami. Ils se mirent à sourire, un sourire cruel et froid.
Malheureusement pour eux, leur ancien ami tenait encore son arme, sur laquelle je me précipita. D'un geste, je sectionnai la jambe de l'un, et de l'autre main, je transperçai l'autre homme qui n'affichait plus l'expression qu'il avait trente secondes plus tôt.
Sept cadavres au sol. Huit, car je mis fin aux souffrances du dernier.
Je m'essuyai les yeux, du sang maculait ma tête et mon armure.
J'essuyai mon épée et regarda le chef des mercenaires droit dans les yeux. Celui-ci n'affichait aucune expression. A croire que la mort des ses sous-fifres ne lui faisait rien du tout.
Au contraire, il s'avança vers moi, une satisfaction sur les lèvres.
Il sorti une hache dans une main, une épée dans l'autre. Il décrivit des ronds avec ses deux armes, comme pour tester son adresse.
Nous nous sommes échangés des regards, décrivant un cercle, jusqu'à la première attaque d'un des deux.
C'est lui qui engagea le combat. Il donna un coup d'épée, que je contra en donnant un coup avec ma seconde épée, il fit de même. On reprit nôtre marche en ronde. Cette fois-ci, c'est moi qui l'attaqua, il contra et contre-attaqua aussitôt, je para et donna un coup de pied, il sursauta et toussa, un filet se sang coula de sa bouche.
Il attaqua, cette fois-ci, avec de la haine dans ses yeux. Je fit un pas sur le côté, lui donna un coup de genou dans le ventre et un coup du manche de mon épée sur la tête.
Du sang coula de son crâne.
Il attaqua à nouveau, il était furieux. Et les hommes furieux sont ceux qui commettent le plus d'erreurs, et pourtant, il m'entailla la jambe. Je lâchai une épée, la douleur était forte.
Il en profita pour m'attaquer de plus belle, mais il était trop confiant, dûe à ma blessure. Je sautai sur le côté, il décrivit un cercle avec sa hache, je me baissai, et, en me relavant, je fondait sur lui tel l'éclair sur un arbre.
Du sang coula abondemment.
Nous échangeâment un regard, qui parut long, si long.
Il lâcha son arme, qui s'écrasa avec fracas sur le sol. Je laissai tomber mon épée, celle-ci resta dans le corps de mon ennemi, qui s'écrasa sur le sol.
Je tombai à genou, mon geste m'avait coûté à moi aussi de la douleur, car sur mon épaule coulait du sang, il m'avait entaillé jusqu'à l'os.
Mon cheval, comme appelé par une voie que lui seul peut entendre, revint me chercher. Il se baissa afin que je monte sur son dos.

De ses hommes je ne savais rien, mais ce que je sais, c'est que d'autres sont venus, dans le même but que leurs prédécesseurs.
Je changeai de nom, le miens devenant trop célèbre auprès des mercenaires avides de venger leur camarades morts au combat.
Benjamin le vengeur est mort, il fût remplacé par Plakto l'insaisissable.
Plakto
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